
Avec la retraite vient rapidement la question de la mutuelle santé complémentaire : souscrire à une offre ou assumer seul ses frais médicaux.
Sécurité sociale et mutuelle : un duo nécessaire
Toute personne en retraité est rattachée automatiquement à un régime de base d’assurance maladie. Avec le « reste à charge » des soins et frais médicaux appliqué par ce dispositif.
D’où la nécessité de souscrire un contrat volontairement. A moins de ne percevoir qu’une pension très réduite et de bénéficier -de ce fait- de la Complémentaire santé solidaire (CSS)
Sécurité sociale : des taux variables de remboursement des frais de santé
Chaque type de soin fait l’objet d’une prise en charge financière. Cette prise en charge est calculée sur la base du « tarif conventionnel » ou « base de remboursement de la Sécurité sociale – (BRSS) » de son nom officiel.
Précision notable : la base de remboursement ne correspond pas à ce que vous rembourse la Sécurité sociale. C’est le montant à partir duquel est calculé ce qui est remboursé, par l’application d’un pourcentage.
Ainsi, selon que le praticien consulté relève du secteur 1 ou non, qu’il vous est prescrit des médicaments génériques ou non, ou encore de la nature de votre pathologie et des soins, la base de remboursement n’est pas la même. Et par voie de conséquence, le reste à charge diffère.
Complémentaire santé : quels remboursements ?
Les remboursements complémentaires à ceux de la Sécurité Sociale sont assurés par la mutuelle. Cela limite au maximum le montant qui reste à votre charge après remboursement de l’assurance maladie.
Sachant que la santé coûte vite très cher en « reste à charge » dès lors que les soucis de santé apparaissent (accident, maladie, perte ou vol des lunettes…), prendre une mutuelle ou non est un choix financier important.
La proposition de complémentaire santé de la CFTC Somme
La CFTC fait le choix de la CCMO, voici pourquoi (en cliquant ICI)
